A Rakovnik Étape du 8 août

, par Sur Les Pas d’Iga

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Un vendredi « force huit »

A 08h 08, seuls, 8 d’entre nous étaient sortis des bungalows ... pourtant le petit déjeuner était programmé à 08h 00 ... mais nous ne le savions pas (bien des palabres la veille au soir pour savoir comment manger ce matin). Merci à André pour avoir su se trouver au bon endroit à la bonne heure.

A 09h 08 (soit 08h 08 GMT +1 !), nous apprenons que le dîner est programmé à 19h 00

A 13h 00 était programmée une rencontre avec Mr Radomir Dvorak, représentant de la Mairie de Rakovnik, qui sera finalement annulé. André, toujours lui, en profite pour mettre en place un apéritif particulier : goûter la spécialité locale, la BAKALAR. Bien évidemment c’est la bière du pays qui réconforte les déçus par ce rendez-vous manqué.

Pour tous c’était journée libre, aussi ce fut pour la plupart :
 visite rapide de la ville
 petite lessive
 sieste
 sudoku
 envoi de cartes postales
 achats divers (il faut entre autres se sustenter le midi, pour pouvoir sereinement attendre le plat traditionnel du soir, à savoir goulash accompagné de knedliki : pour ceux qui ne sauraient pas, c’est une viande braisée avec une sauce plutôt bien liée (en grande quantité) et surtout 4 à 6 tranches, diamètre 10 à 12 cm et épaisseur 2 cm, à base de farine levée, pommes de terre ou pain le tout cuit à la vapeur :

Bien évidemment, il y en a toujours un pour se distinguer du groupe : cette fois c’est Jean-Marc. Il n’a pu s’empêcher de faire un petit footing très remarqué sur le gazon du site ... il faut préciser : c’est la première fois que ça lui arrivait depuis 4 ans. Dans la foulée, c’est le cas de le dire, il se mit aux abdominaux (seul au milieu du site), histoire d’entretenir ses quelques plaquettes de chocolat : faisait-il trop chaud ? La séance fut-elle trop courte ? Le nombre d’amateurs de chocolat dans le groupe est-il trop important ? Toujours est-il qu’on n’a pas vu de différence entre avant et après !

Après le repas dont la teneur est dans un paragraphe précédent, la soirée se termina par des chants autour d’un feu de camp : un très vaste répertoire (de Bretagne, de France, dont certaines à ne pas faire écouter entre toutes les oreilles, Jean-Marc en est le spécialiste) qui fut apprécié par un large public tchèque qui nous entourait.

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